samedi 26 octobre 2013

mercredi 23 octobre 2013

Fleurs en couleur

Hasselblad 1000F (1952) Zeiss Sonnar 250mm/5.6 @ f:11(1954) macro ring et Velvia 50ASA

Hasselblad 1000F (1952) Zeiss Sonnar 250mm/5.6 @ f:11(1954) macro ring et Velvia 50ASA
Hasselblad 2000FC/M bleu, Zeiss Distagon 30mm/3.5 (1965) et Velvia 50 ASA

samedi 14 septembre 2013

samedi 20 juillet 2013

Malta 2013






Bonneville T100 Triumph

dimanche 23 juin 2013

Tool: Inkörper Company; Aurélien Dougé, chor.; Daniela Zaghini; Yu Otagaki; Virginie Nopper, danseurs


Daniela Zaghini; Yu Otagaki; Virginie Nopper
Daniela Zaghini; Yu Otagaki; Virginie Nopper





Daniela Zaghini; Yu Otagaki; Virginie Nopper







Inkörper Company; Aurélien Dougé, chor.; Daniela Zaghini; Yu Otagaki; Virginie Nopper, danseurs

Opus octopus Zoé Reverdin







Opus octopus Zoé Reverdin
 Zoé Reverdin




Compagnie du Rhinocéros; Zoé Reverdin, chor., danseuse; Musique: Audrey Vigoureux, piano; Michele Pellegrino, remix;

samedi 22 juin 2013

LIBÉREZ BARBIE, Compagnie Acrylique Junior










Compagnie Acrylique Junior; Nathalie Jaggi; Séverine Géroudet, chor.; Virginie Bourquard; Emilia Creffield; Eugénie de Weck; Julie Irman; Margaux Janin; Solenne Kistler; Dana Massip; Mathilde Navarro; Karelle Stiassny;

vendredi 21 juin 2013

SINTÉTICO DIAL




 Emmanuelle Auchlin, saxophone alto; Emilie Caridad, saxophone ténor

 Nelson Rojas
Nelson Rojas
Yeyo Hernando Ibañez, batterie; Raphaëlle Fivaz, piano et claviers; Emmanuelle Auchlin, saxophone alto; Emilie Caridad, saxophone ténor; Nelson Rojas, basse et guitare;

Jackson Wahengo, chant et guitare; Tamaye Gennai Tamaye Gennai (MUSIQUE DE NAMIBIE)


Jackson Wahengo
Jackson Wahengo

 Tamaye Gennai
 Tamaye Gennai


Jackson Wahengo, chant et guitare; Tamaye Gennai, claviers et chant; Manuel Gesseney, saxophone; Orland Oliva, basse; Andrew Fluckiger, batterie;





Jackson Wahengo, chant et guitare; Tamaye Gennai, claviers et chant; Manuel Gesseney, saxophone; Orland Oliva, basse; Andrew Fluckiger, batterie;

samedi 18 mai 2013

Le Chat botté



http://www.geneveopera.com/production.php?id_production=61


Le Chat botté
Conte lyrique de César Cui d'après le conte de Charles Perrault
Version musicale d'Elena Langer

Production de l'Opéra national du Rhin

dimanche 12 mai 2013

Leica M (M240) dans les pattes


Le Leica M présenté en septembre 2013 à la Photokina commence à être disponible à la vente (état mai 2013)
Ayant l’objet depuis quelques semaine je vous propose une présentation en faisant référence à mon expérience d’utilisateur de M2 M8, M9-P et Hasselblad CFV-39

Déballage du carton:
Point assez futile ; A remarquer que si ça reste du carton, un réel effort est fait pour donner une impression de luxe. Comme nouveauté des aimants dans les portes pour qu’elles se ferment correctement. Utiliser cette boite en carton est peu pratique car elle est faite pour y poser que le boitier  sangle démontée et sans objectif donc cette boite n’aura pas sa place sur une table mais ira bien à la cave jusqu’à la revente du boitier.  Bref la boite est faite pour impressionner le client hésitant dans le magasin. Elle n’est pas utilisable comme la boite du Kit « Hermes » ou Gold Dragon qui permet de disposer d’un boitier avec objectif prêt à photographier.

Chargeur et batterie :
Le chargeur est de la taille et la forme d’une savonnette (arrondi) alors que la batterie est clairement un gros parallélépipède rectangle. Donc inverse du M9. Plus d’autonomie promise (point pas encore vérifié)

Look du M, version chrome
Le cuir noir du M9-P est devenue du plastique sans charme moins beau, moins agréable au touché et donne l’impression d’être plus glissant. Le boitier est quand même plus gros que le M9 on s’écarte du canon esthétique du M2 c’est dommage. Le petit renfort pour le pouce est sympa et amène un plus pour maintenir l’ensemble.  Pour équilibrer mon M240 posé à côté d’un M2+35mm Summicron, je dois l’habiller avec un Summilux 35mm.

Semelle du bas du boitier
Si le principe du M3 est conservé, il y a des évolutions : La clef de verrouillage semble pareille mais l’ouverture se fait avec un quart de tour (au lieu de demi-tour), un effort a été fait pour améliorer l’étanchéité du boitier et en même temps une partie de la semelle est en plastique pour permettre l’utilisation d’une carte sd wifi. Le pas de vis pour le trépied est sur le boitier (pas sur la semelle) ce qui autorise de monter des objectifs plus lourds sur le M quand il est sur pied par contre changer une carte sd ou la batterie si vous êtes sur pieds demandera à présent de démonter le M du pied.
Cette évolution est incontournable avec l’utilisation possible d’objectifs R (assez lours) sur le M240
Pas essayé la semelle avec poignée, mais il semblerait que l’on se retrouve avec un objet  construit pour le design, c’est-à-dire  loin d’une ergonomie robuste et efficace d’un R8 ou d’une poignée pour Hasselblad et toujours pas de déclencheur en mode vertical.

Déclencheur
Pas aussi agréable (étrangement rugueux), que celui d’un M2, le bruit est bien plus discret que sur un M8 et M9 qui proposait un réarmement bruyant. Bref on s’y habitue très vite et franchement on passe inaperçu ou presque.

Baïonnette d’objectifs
Après presque de 60 ans, la construction est différente, ce qui montre que ce M240 semble être une refonte plus profonde du M. A ce propos, en passant du M8 au M9 on avait l’impression d’avoir le même boitier sortant du même moule à 90%, alors que là l’outils de production a été modifié en profondeur. Bon du côté utilisateur pas beaucoup d’importance sauf peut-être pour les objectifs codés à l’arrache puisque le lecteur de code suit la forme d’un arc de cercle sur le M240 alors qu’il était en ligne sur le M8 et M9 donc attention à la qualité des objectifs « codés maison » au fond du garage.

Codage d’objectif
J’ai l’impression que les objectifs non codés passent mieux sur ce capteur, à vérifier.

Résolution profondeur de champ
Bon on passe de 18 à 24Mpix. 18 était déjà un paquet pour mon usage (max 50x75cm). Il y a 10 ans j’avais calculé que plus de 20Mpix n’a pas de sens à cause de la diffraction si on ferme à 8 ou plus. Puisque que les objectifs Leica sont globalement au max à 5.6 ça ira. Plus de pixel que ce que permet la résolution de l’objectif aide à donner un rendu moins numérique aussi.
Plus de pixels réduit la profondeur de champ efficace (crop 100%) donc l’abus d’ouverture à 5.6 ou moins pour du portrait tiré en taille 1/1 peut fatiguer rapidement.


Sélecteur de cadres
Bin y a plus !  Conséquences perso :
Pas la possibilité de savoir le cadrage avant de changer l’objectif (gênant si vous hésitez entre le 90 et 135mm que vous utilisez peu par ex. ) et pour les objectifs mal cadrés comme le 24mm qui affiche le cadre du 35mm au lieu du 28mm qui est quand même plus proche et en cas de mauvais codage, vous ne pouvez pas tester les autres cadre pour qu’ils affichent le code correspondant à votre marquage.

Eclairage des cadres
Pour afficher le cadre il faut allumer le boitier. Pas compris qui a eu cette mauvaise bonne idée. Si au moins ça permettait de n’afficher que le cadre du 75mm (sans le cadre du 50mm) mais ce n’est pas le cas. Par contre on peut choisir la couleur (rouge) ce que j’utilise avec un profil reportage donc si cadres rouges alors je sais que je suis en haut iso.
Ce qui me gêne : il m’arrive de vouloir contrôler le cadrage avant de prendre des photos, il m’est arrivé de faire des essai de cadrage en attendant que le batterie se charge.

Allumage de boitier
L’interrupteur est étrangement désagréable mais on s’y fait. Par contre le boitier n’est disponible qu’après 3 secondes si on utilise un carte sd de 32Go (0.5 sec. avec une carte de 2Go), c’est très long. Au début la sensibilité iso s’affiche dans le viseur c’est une bonne idée. L’intensité lumineuse du cadre est bizarrement forte durant la première seconde.

Affichage dans le viseur
Proche du comportement du M8 et M9 à part l’affichage de la sensibilité iso au début. Donc vitesse affichée  si on est en automatique et triangles ou rond si on est en manuel. Toujours pas d’affichage de la vitesse (comme dans le M5 ou Xpan II)quand on est en vitesses manuelles ce qui me dérange en spectacle dans le noir : obligé d’utiliser l’affichage dorsal pas discret come sur le M9 (Avec le M8 j’étais obligé de prendre une image et de l’afficher pour savoir la vitesse !)

Retardateur
Fan du retardateur pour utiliser les vitesses basse, on reste avec deux choix 2 ou 12 secondes. Pas d’intervalomètre et pas de télécommande électrique ou sans fil comme sur mon Hasselblad.

Nettoyage capteur
Nouveauté : possibilité d’afficher les dégâts : On prend une image avec un diaphragme à 11 sur une surface homogène, le M affiche la constellation de poussière sur l’écran. Ca nettoie pas tout seul mais ça rends la corvée plus agréable au début. Après 500 clics c’est déjà la cata(huile & poussières)

Flash
Oui je suis utilisateur de flash, je peux même dire que si j’avais abandonné la pratique du M2 (remplacé par un Nikon FE) c’est principalement qu’en reportage de mariage, le 1/50 sec. est impraticable pour remonter le ombres ou casser les reflets vert sur la robe de mariée dans un décor bucolique. Bon avec le M8 la vitesse synchro passe à 1/250 et avec le M240 on reste à un niveau convenable de 1/180. Sur le M le module de calcul TTL est repensé, il accepte les flashs Metz SCA 3000 (en tout cas mon vieux 40 MZ-2) en plus des Leica SD 24 et 54. Il me semble qu’il est plus stable dans ce mode : avec le M9 il ne fallait pas déclencher trop vite.
Bref : amélioration technique du mode TTL en passant du M9 au M240
Autrement : toujours pas de seconde sortie pour le flash (comme le M4-P) ce qui était gonflant à partir du M8 et carrément incompatible si on veut utiliser le viseur électronique (VF-2).
La forme de la griffe de flash est modifiée : fini la butée dans le coin gauche qui rendait l’émetteur sans fil Elinchrom incompatible (contact centrale impossible et fil vers prise pc inexistante !)

Affichage grand écran
Ecran plus grand et apparemment de type M9-P. Pas mal de nouveauté déjà décrite.
Une nouveauté prise au hasard : Si vous choisissez le mode de mesure spot de la lumière et que vous êtes en vitesse manuelle, vous pouvez afficher la sur ou sous expo en IL des zones de l’image. Mode intéressant avant de faire une longue série d’image qui faudra récupérer sur LR (ajout de lumière d’appoint par ex.)
Suite plus tard si intérêt…

Mode Noir et Blanc filtrée des jpg
Si vous gardez les RAW, ça peut sembler futile, mais j’aime bien avoir des jpg en N/B quand la lumière est difficile et que l’on me demande d’afficher les images tout de suite. Un point nouveau et intéressant est que l’on peut demander que les images N/B soient filtrées. Donc pour du portrait, simulation filtre rouge pour ne pas fâcher et simulation jaune si ciel bleu. Bon ça donne surtout envie de ressortir le M2 !

Live-view
Pas trop fanatique de ce mode que je redécouvre avec ce M240. Il y a un zoom central dans l’image 10x qui est l’outil indispensable pour l’aide à la mise au point. Ca permet de se rendre compte par ex, que la profondeur de champ du 90mm /2.0 est vraiment faible à 7m alors que l’on est très mal à l’aise à cette distance avec un télémètre d’une largeur de quelques centimètres.
Autrement : Voir l’image sur l’écran est gonflant et pousse à tenir l’appareil devant donc tremblote assurée. Sur pieds c’est plus utilisable sauf que pas pratique si on ne peut zoomer que sur la partie centrale. J’ai fait des tests intéressant avec un R 60mm Macro.
Un objectif normal sur M devient monstrueux.
Je suis impatient d’essayer une bague R--> L qui permet une bascule.
A voir si on va trouver des bagues allonge pour M ; j’ai utilisé une chambre visoflex II comme bague allonge…c’est trop long pour moi, réservé pour des agrandissements énormes.
A tester lentille Elpro qui permettaient de prendre des vues rapprochée.

La suite plus tard si intérêt.

jeudi 25 avril 2013

Music on Ice à Genève 2013

Drapeau japonais sur glace

Fumie Suguri.




Fumie Suguri.

Fumie Suguri.

Stéphane Lambiel

Stéphane Lambiel



Les images sont prises de très loin avec un Leica M9 et 90mm AA,  Bref ce sont des crops 100%